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Jean-Pascal meyer

Il a 27 ans lorsqu’il est envoyé en Afrique pour remplir sa mission «American Express» consistant àvendre la carte «American Express».

C’est lors de son aventure «American expressément Africaine» qu’il va commencer à écrire ses Récits d’Afrique, poussé par la nécessité de raconter son voyage, ses émotions.

Le «Journal d’un jeune égaré en Afrique» est un texte autobiographique très engagé.

Dans ce texte, l’auteur partage ses émotions, ses peurs, ses doutes, sa fragilité en toute impunité.

Il se livre à corps perdu dans cette épopée si vaste et si infinie: La culpabilité.

Chaque adulte alors âgé de 15 à 99 ans pourrait facilement s’identifier à lui en se mettant à sa place: c’est ne prison à laquelle il est difficile d’échapper, la culpabilité...

L’auteur engage un vaste débat en se posant des questions existentielles et philosophiques.

Nous sommes en 1983, lorsqu’il amorce le débat de cette douloureuse Afrique...

32 ans plus tard la question toujours d’actualité reste sans réponse...

Il a l’occasion de travailler dans le journalisme en collaboration avec Le Monde et le journal

Réforme (1993 - 1994) pour des billets d’humeur, genre alerte et enlevé sur des sujets d’actualité choisis. Après le journalisme, il se dirige pendant plusieurs années en tant que concepteur rédacteur dans la publicité, ce qui l’amènera par la suite, à rentrer aux beaux-arts de Bordeaux où il entreprendra trois années d’études...

Il est maintenant sculpteur.

note de l'auteur

« C’est le dialogue avec soi et sa conscience. Celui qui a de la chance et celui qui n’en a pas. Aller au bout de ce qui fait une tempête sous un crâne. Les idées surgissent, les peurs avec. Accueillir les émotions sans censure, en espérant comprendre qu’un être c’est aussi tout ça: de la culpabilité, de l’ignorance, de la violence, de l’injustice, des préjugés, mais aussi du coeur, de la conscience, de la souffrance, des élans... Le contraire du politiquement correct. D’ailleurs il ne peut y avoir de politiquement correct, dans la pensée moins que partout ailleurs. Finalement, c’est le choc de la différence pris en pleine gueule de la jeunesse. Le télescopage incompréhensible du pourquoi lui? Pourquoi moi? »

Jean-Pascal Meyer.

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