Djumbo son nom d'artiste est né à la suite récente d'actions pour graffer sa patte d'éléphant avec un groupe d'artistes dans la rue. à Paris et à Nantes, à partir de 2019.
.
Né en 1986, Djumbo graffait dans la rue depuis l'âge de 15 ans . La rue est son univers privilégié.
A la suite d'épreuves difficiles, et d'une maladie auto immune rare, évolutive, Il a perdu complètement la vue suite à deux poussées neurologiques. Puis il a retrouvé la vue très partiellement (un œil aveugle, l'autre 3/10ème) grâce à des traitements puissants.et des lunettes basse vue, il peut obtenir 7/10. A sa 3eme aggravation, il est perclus de douleurs, mais il engage un régime anti inflammatoire, vegan et sans gluten. Cela lui procure un soulagement certain, et en plus, il a enfin l'espoir de stabiliser la maladie.
Dans sa peinture, il mixte l'acrylique, la bombe, les coulures, les couleurs. On reconnait sa gestuelle et l'urgence de créer : une course du temps.
Sa peinture est une nécessité de chaque jour,
One
Ses dernières créations
La patte d'éléphant, stylisée, colorée, coulée, reproduite sur les murs de la ville, sur toiles, et sur stickers.
Il peint avec des récupérations de peintures. La ville est son inspiration, et ses déambulations le motive plus quand il est accompagné d'amis. Il fait des stickers, collés sur les poteaux, panneaux, murs, portes : l'éléphant est devenu son totem phare. L'animal fort à défendre. comme beaucoup d'autres, parce qu'il est en perdition, chassé pour son ivoire, et en lutte pour sa survie avec le réchauffement climatique.